Souvenir agréable de bricolages de mon enfance,

le plastic fou -qui rétrécit à la chaleur-,

trouvaille de ma marraine,  nous avait servi alors

à faire des étiquettes pour les cadeaux de Noël.

Il est de retour aujourd'hui pour fabriquer des cartes,

comme le confinement, eh oui...

Quelques sources d'inspiration utiles quand on est pressé,

et je l'étais de re tester ce plastic, appelé aussi plastic dingue,

donc il me fallait des motifs prêts à l'emploi.

Format initial: quasiment du A4

à l'arrivée une image de 8 par 12 cm

coloriage au crayon à papier (d'où la rubrique du 5 novembre)

attention! si on a besoin d'effacer les traces se verront sur le résultat final.

Les petits motifs ronds sont peut être mes préférés

Ma fille s'y est mise aussi

et a voulu faire des fonds sombres, ce qui donne des images au final pas très lisibles,

mais qui ont leur charme...

J'ai tenté les crayons aquarellables, mal m'en a pris:

ça a fait apparaître comme des tâches claires sur les feuilles de la marguerite, ce qui n'est pas très dérangeant au demeurant,

mais si l'effet est contrôlé cela peut sûrement donner des aspects intéressants.

Les plaques de plastique sont ensuite collées à la bombe, là aussi, le maniement de la colle n'est pas aisé (en tout cas pour moi) car si la colle n'est pas bien diffusée et fait des paquets cela peut tout compromettre!

Franchement le plastic fou, c'est mieux qu'un mandala ou qu'un coloriage quelconque,

avis tout personnel...par contre je ne sais pas si c'est très écolo.