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Essais de monotypes à l'acrylique
en m'inspirant de mes photos de paysages.
J'ai utilisé le dos d'un papier peint qui était un peu pelucheux.
Ça donne des choses pas toujours attendues,
que l'on peut regarder dans un sens ou un autre.
Des projections d'eau incontrôlées,
une goutte de rouge qui tombe par inadvertance
la surprise est au rendez-vous!
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Et j'ai remis ça! C'était prévu de longue date, et c'est grâce à un cours de gravure où il faut travailler sur une tôle chaude pour ramollir l'encre,
que j'ai repris le chemin du pastel gras.
En travaillant cette fois-ci sur un papier posé sur une plaque de four
retournée au-dessus d'une plaque électrique.
Le bouton en position 2-3, des outils pour étaler, mixer les couleurs,
ou pour obtenir des petits copeaux ou gratter,....
J'ai réessayé sur un petit morceau de bois, mais c'était moins facile...
Aussi, j'ai ressorti mon petit pistolet à air chaud,
toujours aussi efficace, mais par contre la fusion est parfois trop rapide, donc difficile à contrôler...
Dans la lancée, j'effectue aussi un essai sur une toile,
là le grain de la toile me gène,
ce n'est pas aussi agréable que sur le papier ou le bois recouvert de Gesso.
Pour finir, je tente sur les pages d'un ancien album photo, des paysages
sur les quels j'applique ensuite le fer à repasser avec l'aide du papier sulfurisé.
On obtient des effets proches du monotype, que j'aime bien,
mais surtout ce que j'ai apprécié c'est de revenir dessus, pour finir,
avec du pastel gras et aussi du pastel sec.
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Jouer avec des plumes et de l'encre, avec ma fille, on avait déjà fait,
mais fabriquer un "pinceau" à partir des bardes d'une plume,
là c'était une première pour moi.
Dans mon jardin, 'y a des canards et du sureau.
Je récupère toujours des plumes lors de la mue
et avantage du sureau,
le cœur des petites branches est tendre, donc facile à creuser.
Avec un peu de délicatesse et de patience ,
on arrive à fabriquer un plumeau tout en le mouillant constamment
(ça aide à le mettre en forme).
Puis un peu de colle à bois et pour quoi pas du fil de cuivre pour faire genre...
et le tour est joué.
J'ai essayé les plumes de la queue du coq, ça marche très bien,
c'est ce que font les chinois, avec un savoir-faire millénaire...
L'idée était de me fabriquer un "trainard" pour l'aquarelle et ça me va.
Mais en fait tout a commencé en vacances
en ramassant des plumes d'oiseaux de toutes sortes: choucas, hérons, mouettes, ...
et aussi un type de roseau cueilli en bord de mer pour faire les manches.
Quelques heures sont passées ainsi
à s'amuser à créer toutes sortes d'outils
pas toujours faciles d'emploi, mais c'était le plaisir de l'expérimentation...
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La figure humaine ne trouve plus place dans mes aquarelles
depuis quelque temps...
Bouquets et paysages sont un bon entraînement pour moi
et je travaille, et c'est dur-dur, à ne pas trop coller
au modèle et à m’affranchir des détails inutiles...
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