Argile et empreintes, un classique,

comme l'inspiration n'était pas au rendez-vous,

ma fille à moi avons préparé des petites "galettes"

avec un reste d'argile auto-durcissante qui allait se perdre.

Puis on a pressé dessus tout ce qui nous tombait sous la main.

Sur une planche peinte à l'acrylique dans des tons vert-bleu,

les galettes une fois sèches ont été collées,

peintes légèrement avec du gesso

et les empreintes colorées à la gouache.

Les végétaux restent mes préférés.

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La jeune fille et l'ours...

d'après une photo déjà exploitée en gravure, par ici,

reviennent cette fois à l'acrylique.

Ma fille a failli se retrouver avec une main à six doigts...(oh, la honte!)

ce que j'ai vite rectifié.

Heureusement, l'ours avec ses bonnes paluches,

rend la tâche du "peintre" plus aisée.

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En attente depuis un an, deux ans ou même trois ans, je ne sais plus,

ce panneau de bois ancien et patiné attendait son paysage au pastel à l'huile.

La bordure a été protégée par une bande de masquage

et l'intérieur passé au Gesso ( deux, trois couches avec ponçage),

ensuite peint en bleu clair à l'acrylique.

La surface à peindre est restée relativement lisse et

j'avais trouvé que c'était plus facile de faire la même chose

sur des panneaux neufs** (chutes achetées chez Leroy-Merlin)

qui présentent une surface plus "accrochante" pour le pastel à l'huile.

Mais je décide de persévérer et l'idée me vient de chauffer le pastel

soit après avoir passé plusieurs couches ou couleurs pour les fondre ensemble

soit au moment où je frotte le pastel contre la surface.

La difficulté est alors de contrôler la quantité déposée,

mais pour le coup, la couleur apparaît franchement et relativement pure.

Mon "hot air gun" (pistolet à chaleur) avait été acheté

à Action dans un coffret avec de la poudre à embosser.

Pour tenir le pastel sans me brûler les doigts,

j'ai entaillé le tube d'un vieux feutre,

glissé mon morceau de pastel à l'intérieur,

et ficelé tout ça fortement avec du fil métallique.

Pour finir, j'ai expérimenté le graveur sur bois afin

d'y apposer ma signature habituelle, mais ce n'est pas super visible, à parfaire...

**Autres pastels gras...

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Pour essayer de copier un article vu dans un catalogue de vente en ligne,

je récupère ce que j'avais déjà bricolé en guise de "porte-séche-pinceaux"

(mais qui était somme toute assez moche)

afin de le recycler en rangement à œufs.

Donc au départ, j'ai les deux pieds, de ce qui devait être

un pare feu, combinés à un morceau de dossier de chaise.

Avec ce qui traîne dans mon atelier, quelques clous et de la colle,

et un coup de peinture, j'improvise cette chose...

Zut! mes œufs (ceux de mes poules)

sont trop gros!

Je sens bien que ça va finir

en range-crayons, couverts,

pailles, baguettes, ... ou que sais-je encore.

Vive l'improvisation!

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Suite à une photo prise par un jour brumeux d'automne en 2016 ou 2017,

je tente de porter ce sujet

sur une toile à l'aquarelle.

Je crois me rappeler que cette toile était prévue à cet effet.

Techniquement, ça n'a pas été simple,

en tout cas pour moi,

puisque la toile ne prend pas la couleur comme le ferait le papier.

Et une fois que c'est sec, la moindre goutte d'eau peut faire partir la couleur.

Bref, j'arrive quand même à quelque chose, mais c'est flou et indéterminé,

ça ne me plaît pas.

5 ans après je décide d'y retoucher pour essayer de lui donner plus de relief

et de l'encadrer. J'ai sous la main un petit cadre carré justement. Je colle des petites baguettes pour ne pas que la vitre vienne toucher l'aquarelle .

Puis je colle le châssis sur un passe partout blanc (aux dimensions de la vitre)

lui même collé sur un carton épais un peu plus grand pour que l'aquarelle ne vienne pas tomber sur la vitre.

Enfin je cloue délicatement le carton épais sur le cadre et termine avec le système d'accrochage.

Pour d'autres aquarelles...

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